Ces deux exposés nous ont permis d’accéder à des visions spéculatives passionnantes sur la réalité du vivant et de la maladie. Ils nous ont entraîné dans l‘univers des vibrations qui nous gouvernent, singulièrement celles que transportent le rayonnement électromagnétique...
résumé par le Dr Luc Benichou
responsable communication scientifique
Alexander Wusch est un thérapeute allemand, physicien, dont l’interprétation de nombreuses pathologies repose sur les interactions vibratoires qui existent entre les organes et leur environnement. Il reconnait que dans son travail de recherche, rien n’est encore tout à fait clair mais que tout est lumineux car entièrement dominé par un dialogue permanent de nature vibratoire entre les cellules, les tissus, les organes et la nature.
Son approche holistique, l’amène à considérer le corps humain comme un ensemble d’oscillateurs interconnectés dans le domaine des vibrations sonores mais surtout dans celui du champ électromagnétique. Il privilégie ainsi celui des fréquences qui nous parviennent du soleil, surtout celles qui occupent le visible et le proche invisible. Il nous a fait ainsi entrevoir à quel point nous pouvons envisager une médecine à la fois préventive et curative basée sur l’analyse et la gestion des systèmes vibratoires qui nous entourent et ceux que nos cellules génèrent.
Avec le Pr Marco Bischof, chercheur et thérapeute suisse exerçant en Allemagne, nous avons continué l’exploration des systèmes vibratoires. S’appuyant sur de nombreux travaux menés depuis plus d’un siècle, il conçoit le vivant comme un système de résonnance de champs vibratoires générés par les tissus et les organes. Il est, selon lui, physiologiquement nécessaire que ces champs interagissent avec synchronisation et cohérence.
Cette double notion est à la base des fonctions du système nerveux central et périphérique. Elle gouverne un fonctionnement harmonieux des circuits neuronaux et neuro-effecteurs. Elle expliquerait en outre certaines manifestations d’empathie interpersonnelles comme par exemple l’attention toute particulière qu’une partie d’un public accorde à un conférencier. Elle serait également à l’origine de la capacité de certains à soulager des symptômes. Elle illustrerait enfin l’état de « méditation » en le rattachant à une synchronisation des ondes provenant des principales aires cérébrales.
Il me semble important, à ce stade, de souligner qu’il ne s’agit pas d’une libre interprétation de Marco Bishof mais d’une prise en compte de nombreuses expérimentations entreprises par différents chercheurs.